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La résolution que j'ai prise c'est de ne plus conduire sans passagers

le Publié dans Témoignage de Retraite. Affichages : 2573

Bien aimés de Dieu,

Il faut dire que je suis vraiment animé d'une très grande joie depuis mon retour de la grande retraite de Bamenda 2014 où le Seigneur a utilisé toutes les astuces pour me prouver qu'il m'aime depuis que j'ai été formé dans le sein de ma mère. Il m'a fait comprendre qu'il n'a jamais détourné son regard de moi. J'ai compris que c'est moi par mes multiples péchés qui m’éloignaient de lui par moment. J'ai regretté chers frères et sœurs tous les moments que j'ai maugréé contre mon père. Quand je souffrais je croyais qu'il m'avait abandonné alors qu'il m'enseignait.

J'ai compris à travers les enseignements que rien ne peut m'empêcher d'aimer, que le remède de la tristesse c'est l'Amour et que lorsque j'éprouverai des difficultés à aimer mon prochain parce qu'il me rend la vie difficile il suffira pour moi de représenter le Christ en cette personne. C'est ce que j'essaye de faire depuis mon retour de Bamenda et je me sens de plus en plus heureux. J'ai été profondément touché quand dans un enseignement on m'a fait comprendre que je ne suis que l'intendant de mes biens. J'ai compris qu'aider un frère démuni n'est pas une faveur mais un devoir car "ne pas faire participer les pauvres à ses biens c'est leur voler les leur" St Jean Chrysostome. J'ai été surpris d' entendre que lorsque je porte un pauvre dans ma voiture il n'est même pas obligé de me dire merci car ce que j'ai lui appartient aussi et c'est de mon devoir de l'aider. La résolution que j'ai prise c'est de ne plus porter la voiture vide sans passagers de Ndogbong jusqu'à Akwa alors que je traverse plusieurs de mes frères en route que je suis obligé d'aider. J'ai compris que "Être en mesure de faire le bien et ne pas le faire est un péché" Jc 4, 17

L'une des choses sur lesquels j'ai mis de l'accent depuis mon retour c'est l'évangélisation. J'ai été encore touché par l'enseignement sur l'annonce de la bonne nouvelle. Je me suis rendu compte que j'ai un peu freiné mon élan depuis un certain temps. J'ai voulu commencer ce travail pendant que j'étais encore sur le chemin retour de la retraite. J'ai voulu le faire pour ne pas perdre le zèle. Je me suis arrêté à Bafoussam et j'ai visité environ 5 familles. Il était question pour moi de partager les merveilles de la grande retraite et poser ainsi les jalons de la retraite de carême Babeté 2015. J'ai fait la même chose à Batié, à Bafang. Une fois arrivé à Douala les regards étaient tournés vers le 4ème Dimanche à Yaoundé où j'ai réussi à faire participer 3 personnes à travers le téléphone. Actuellement je suis dans la préparation de la journée du 28 Septembre. Je compte y amener le maximum de personnes possibles. Mes frères plusieurs enfants de Dieu sombrent encore dans les ténèbres et nous avons le devoir de les aider car il n'y a pas de bonheur à être heureux seul. De plus évangéliser n'est pas un choix mais une obligation comme on nous le rappelait encore à Bamenda.

Bertrand Mepiap (Cameroun)

 

 Bien aimés de Dieu,

Il faut dire que je suis vraiment animé d'une très grande joie depuis mon retour de la grande retraite de Bamenda 2014 où le Seigneur a utilisé toutes les astuces pour me prouver qu'il m'aime depuis que j'ai été formé dans le sein de ma mère. Il m'a fait comprendre qu'il n'a jamais détourné son regard de moi. J'ai compris que c'est moi par mes multiples péchés qui m’éloignaient de lui par moment. J'ai regretté chers frères et sœurs tous les moments que j'ai maugréé contre mon père. Quand je souffrais je croyais qu'il m'avait abandonné alors qu'il m'enseignait.

J'ai compris à travers les enseignements que rien ne peut m'empêcher d'aimer, que le remède de la tristesse c'est l'Amour et que lorsque j'éprouverai des difficultés à aimer mon prochain parce qu'il me rend la vie difficile il suffira pour moi de représenter le Christ en cette personne. C'est ce que j'essaye de faire depuis mon retour de Bamenda et je me sens de plus en plus heureux. J'ai été profondément touché quand dans un enseignement on m'a fait comprendre que je ne suis que l'intendant de mes biens. J'ai compris qu'aider un frère démuni n'est pas une faveur mais un devoir car "ne pas faire participer les pauvres à ses biens c'est leur voler les leur" St Jean Chrysostome. J'ai été surpris d' entendre que lorsque je porte un pauvre dans ma voiture il n'est même pas obligé de me dire merci car ce que j'ai lui appartient aussi et c'est de mon devoir de l'aider. La résolution que j'ai prise c'est de ne plus porter la voiture vide sans passagers de Ndogbong jusqu'à Akwa alors que je traverse plusieurs de mes frères en route que je suis obligé d'aider. J'ai compris que "Être en mesure de faire le bien et ne pas le faire est un péché" Jc 4, 17

L'une des choses sur lesquels j'ai mis de l'accent depuis mon retour c'est l'évangélisation. J'ai été encore touché par l'enseignement sur l'annonce de la bonne nouvelle. Je me suis rendu compte que j'ai un peu freiné mon élan depuis un certain temps. J'ai voulu commencer ce travail pendant que j'étais encore sur le chemin retour de la retraite. J'ai voulu le faire pour ne pas perdre le zèle. Je me suis arrêté à Bafoussam et j'ai visité environ 5 familles. Il était question pour moi de partager les merveilles de la grande retraite et poser ainsi les jalons de la retraite de carême Babeté 2015. J'ai fait la même chose à Batié, à Bafang. Une fois arrivé à Douala les regards étaient tournés vers le 4ème Dimanche à Yaoundé où j'ai réussi à faire participer 3 personnes à travers le téléphone. Actuellement je suis dans la préparation de la journée du 28 Septembre. Je compte y amener le maximum de personnes possibles. Mes frères plusieurs enfants de Dieu sombrent encore dans les ténèbres et nous avons le devoir de les aider car il n'y a pas de bonheur à être heureux seul. De plus évangéliser n'est pas un choix mais une obligation comme on nous le rappelait encore à Bamenda.

Bertrand Mepiap (Cameroun)